FAQ

Foire Aux Questions

La réponse est Oui ! C'est une bonne nouvelle, tout le monde est réceptif·ve à l'hypnose, car les phénomènes hypnotiques sont naturels, on en vit plusieurs fois par jour. Par exemple, on est tellement concentré·es sur son smartphone ou un livre, que l'on entend pas la personne à côté de nous nous parler, ou encore, on ne se souvient plus si on a fermé la porte de la maison à clé, ... Par contre, selon le passé de chacun·e, cela peut prendre plus ou moins de temps : il est plus facile pour certaines personnes de lâcher prise, d’entrer en état hypnotique et si vous n’y arrivez pas “naturellement”, c’est qu’il y ait très probablement de très bonnes raisons. Ces bonnes raisons s’appellent des parties protectrices qui se sont mises en place dans votre passé. A cette époque, il est probable que ce système de défense soit apparu pour vous sauver la vie. Par exemple, je ne lâche plus jamais prise car j’étais dans la lune en faisant du vélo et je me suis cassé la figure. Ou encore je ne vais plus jamais lâcher prise car à l’école, quand je le faisais, les gens se moquaient de moi, … Cela veut dire qu’avant d’essayer à tout prix de vous faire lâcher prise, il est indispensable de rencontrer cette ou ces parties protectrices et de comprendre ce qu'il s’est joué dans votre passé.
Je ne sais pas répondre à cette question, cela dépend de chacun·e, c'est en partie lié à ma réponse à la question "Suis-je réceptif·ve à l'hypnose ?". Ce que je peux dire en tout cas, c'est que je n'accepte de vous recevoir que pour un minimum de 3 séances (de 2 heures). Il n'y a pas ici de baguette magique, je vous (vous et votre inconscient) accompagne à faire votre thérapie, je ne possède pas de pouvoir magique ou de don.
Parce que ma méthode n'est pas une baguette magique, elle vous aide à vous reconnecter à votre être le plus profond, et cela peut prendre du temps. Imaginez que vous avez enfermé un être, dans une pièce, fermée par une porte pendant des dizaines d'années, et bien lorsque l'on ouvre la porte, ce petit être ne pas forcément sortir à pleine vitesse dehors. J'ai constaté qu'à partir de 3 séances, on pouvait avoir déjà un·e référent·e mâture et qu'il peut déjà se passer de belles choses.
C'est parfaitement OK. Si les souvenirs sont trop douloureux, ou que les émotions trop fortes, c'est que ça n'est pas le moment d'aller libérer cela. Je ne dis pas que les libérations émotionnelles sont une partie de plaisir, mais libre à vous de jauger ce qui est acceptable ou ne l'est pas. Dans tous les cas, je ne force pas à faire les 3 séances si vous ne souhaitez pas continuer.
Imaginez pleins de petits êtres qui cherchent tous à s'exprimer les uns avant les autres car ils se considèrent plus urgents/importants que les autres. Cela devient compliqué à gérer. Le ou la référent·e permet de servir d'intermédiaire entre tous ces petits êtres (parties émotionnelles dissociées du corps, à cause de traumatismes par exemple) et vous et moi. Cela fluidifie la discussion, la compréhension, et cela permet de rassurer les parties protectrices, car elles peuvent avoir confiance en ce·tte référent·e capable de contenir les parties émotionnelles.
Je vous rassure, vous ne disparaissez pas pendant une séance. Selon l'état d'hypnose dans lequel vous êtes entré·es, vous pouvez avoir des souvenirs plus ou moins nets de ce qu'il s'est passé. Si vous oubliez tout, c'est que vous vous êtes endormi·es, ce qui n'arrivera pas pendant mes séances.